Tome 4 lu, et c'est plutôt un bon tome avec deux histoires longues (une en trois chapitres, l'autre en deux) assez denses.
Chronique à venir prochainement ^^
C'est fou comme cette série soulève les passions
Tome 4 lu, et c'est plutôt un bon tome avec deux histoires longues (une en trois chapitres, l'autre en deux) assez denses.
Chronique à venir prochainement ^^
Tome 4 lu, et c'est plutôt un bon tome avec deux histoires longues (une en trois chapitres, l'autre en deux) assez denses.
Chronique à venir prochainement ^^
J'ai pas encore le tome donc je peux pas réagir pour l'instant! Mais c'est vrai que Master Keaton est sans doute la série d'Urasawa qui déchaîne le moins les foules sur le forum, c'est assez surprenant dans le sens où j'aurais plutôt vu un manga comme Happy! dans ce registre... cela étant, j'attendais avec beaucoup plus d'intérêt le prochain tome d'Happy! que celui de Master Keaton, même si ce sont deux registres différents.
Je l'ai acheté mais pas encore lu faute de temps.
En fait la grosse différence entre Master Keaton et Happy! et même avec les autres mangas d'Urasawa qui ont suivi, c'est que ces derniers sont feuilletonnant alors que pour le premier nous avons une succession d'histoires indépendantes même si on a Keaton comme fil directeur.
Forcément les histoires sont moins attendus car il n'y a pas de cliffhanger entre les tomes, et on peut lire tranquillement un tome, une histoire progressivement.
Et si on veut également faire le parallèle avec Dossier A de Nagasaki, car on y retrouve des similitudes comme l'archéologie, etc.., même si l'histoire est très décousue, dans celle-ci Irya a une quête, un élément moteur, chose qui finalement est absente dans Master Keaton.
Autre comparatif que l'on peut faire, c'est celui avec le recueil d'histoires courtes. Là aussi on a des histoires indépendantes ce qui le rapproche de Master Keaton mais à l'inverse on a eu qu'un seul tome et donc forcément il est plus facile de réagir à un seul volume qu'à plusieurs qui se succèdent.
C'est à mon avis l'explication la plus logique pour le faible engouement de Master Keaton. Et je pense également que si Pineapple Army était réédité, il aurait le même retour de Keaton, voire encore moins car plus faible dans la narration. Après, il y a moins de tomes.
En fait la grosse différence entre Master Keaton et Happy! et même avec les autres mangas d'Urasawa qui ont suivi, c'est que ces derniers sont feuilletonnant alors que pour le premier nous avons une succession d'histoires indépendantes même si on a Keaton comme fil directeur.
Forcément les histoires sont moins attendus car il n'y a pas de cliffhanger entre les tomes, et on peut lire tranquillement un tome, une histoire progressivement.
Et si on veut également faire le parallèle avec Dossier A de Nagasaki, car on y retrouve des similitudes comme l'archéologie, etc.., même si l'histoire est très décousue, dans celle-ci Irya a une quête, un élément moteur, chose qui finalement est absente dans Master Keaton.
Autre comparatif que l'on peut faire, c'est celui avec le recueil d'histoires courtes. Là aussi on a des histoires indépendantes ce qui le rapproche de Master Keaton mais à l'inverse on a eu qu'un seul tome et donc forcément il est plus facile de réagir à un seul volume qu'à plusieurs qui se succèdent.
C'est à mon avis l'explication la plus logique pour le faible engouement de Master Keaton. Et je pense également que si Pineapple Army était réédité, il aurait le même retour de Keaton, voire encore moins car plus faible dans la narration. Après, il y a moins de tomes.
" Un naturopathe, c'est comme un sociopathe mais avec la nature "
Du même avis que BigFire
J'adore Master Keaton et je le recommanderai sans problème, mais... c'est un truc dans lequel tu pioches des petites histoires, ce n'a pas la force d'un happy ! où tu veux toujours savoir la suite.
Là, j'ai vu qu'il sortait, je l'ai acheté, j'ai lu la première histoire. DEmain, je lirais la deuxième... j'apprécie vraiment, mais je ne lis pas Master Keaton comme un autre manga.
Il y a aussi moins de chose à dire : Pas de suspens, pas de théorie fumeuse, peu de personnages récurant (et donc d'évolution).. je ne ressens pas le besoin de me connecter ici pour parler de Keaton, alors que pour Billy Bat ou happy, si
Pour l'instant, je ne peux juger que la première histoire... et on retrouve pas mal de thématiques qui ont été reprises dans monster (l’Allemagne, les gitans, la séparation est/ouest, le joueur de flute qui fait penser aux histoires de bonaparta...) Très intéressant donc... mais un peu trop invraisemblable par rapport à la vraie histoire
J'adore Master Keaton et je le recommanderai sans problème, mais... c'est un truc dans lequel tu pioches des petites histoires, ce n'a pas la force d'un happy ! où tu veux toujours savoir la suite.
Là, j'ai vu qu'il sortait, je l'ai acheté, j'ai lu la première histoire. DEmain, je lirais la deuxième... j'apprécie vraiment, mais je ne lis pas Master Keaton comme un autre manga.
Il y a aussi moins de chose à dire : Pas de suspens, pas de théorie fumeuse, peu de personnages récurant (et donc d'évolution).. je ne ressens pas le besoin de me connecter ici pour parler de Keaton, alors que pour Billy Bat ou happy, si
Pour l'instant, je ne peux juger que la première histoire... et on retrouve pas mal de thématiques qui ont été reprises dans monster (l’Allemagne, les gitans, la séparation est/ouest, le joueur de flute qui fait penser aux histoires de bonaparta...) Très intéressant donc... mais un peu trop invraisemblable par rapport à la vraie histoire
Tiens d'ailleurs j'ai oublié de vous relayer ma chronique ^^"
Master Keaton Deluxe 4
Tandis qu'il recherche un nouveau poste d'enseignant, Taichi poursuit ses voyages au sein de l'Europe, à la rencontre de gens hétéroclites parfois porteurs de lourdes histoires. Entres complots issus du passé, activistes indépendantistes ou catastrophes naturelles, la vie de notre enquêteur n'est pas de tout repos !
Dans ce quatrième volume de Master Keaton apparaît l'affection de Naoki Urasawa pour les paysages européens, mais également pour les thrillers à suspens. L'auteur propose en effet des histoires un peu plus denses, quitte à s'étaler sur quelques chapitres. Les deux récits les plus visibles du tomes resteront donc celui d'ouverture, nous rappelant la cause des gitans qui furent majoritairement exterminés lors de la seconde guerre mondiale ; et un autre récit au cœur du tome autour de l'assassinat d'une activiste de l'IRA, dénonçant au passage quelques travers journalistiques . Mais le chapitre le plus prenant restera sans doute « L'oiseau bleu a disparu », où une mère cherche à retrouver sa fille perdue, et dont les rebondissements rappelleront certains films hollywoodiens.
Entre ces enquêtes plus ou moins soutenues, l'auteur nous offrira diverses respirations, que l'on peut réunir sous les valeurs de la famille et de la transmission du savoir : un grand-père à la recherche de l'affection de son petit-fils, un enseignant qui n'a pas su comprendre le message posthume de son fils, une tribu composée de voisins marqués par un même drame,... A noter que pour ces épisodes plus légers, nous retrouvons une fois encore l'entourage de Keaton, afin d'accentuer cette idée d'héritage filial. Des valeurs qui se retrouvent sublimées dans le dernier chapitre du volume, qui fait le liant culturel entre occident et orient, et qui montre que les petites histoires font la grande.
Master Keaton poursuit donc son petit bonhomme de chemin, sans ralentir le pas, et si nous pouvions commencer à sentir une forme de redondance, l'auteur sait varier les ambiances et les tempos pour masquer la lassitude. Et l'on sent déjà poindre une certaine maîtrise du suspens, encore un brin timide, mais déjà signe d'un grand talent enfoui. Le rythme de parution de la série, à présent trimestriel, nous fait apprécier ces aventures à une plus juste valeur. Prenez le temps d'apprécier ce qui nous entoure ! Prenez le temps d'écouter les autres !
Master Keaton Deluxe 4
Tandis qu'il recherche un nouveau poste d'enseignant, Taichi poursuit ses voyages au sein de l'Europe, à la rencontre de gens hétéroclites parfois porteurs de lourdes histoires. Entres complots issus du passé, activistes indépendantistes ou catastrophes naturelles, la vie de notre enquêteur n'est pas de tout repos !
Dans ce quatrième volume de Master Keaton apparaît l'affection de Naoki Urasawa pour les paysages européens, mais également pour les thrillers à suspens. L'auteur propose en effet des histoires un peu plus denses, quitte à s'étaler sur quelques chapitres. Les deux récits les plus visibles du tomes resteront donc celui d'ouverture, nous rappelant la cause des gitans qui furent majoritairement exterminés lors de la seconde guerre mondiale ; et un autre récit au cœur du tome autour de l'assassinat d'une activiste de l'IRA, dénonçant au passage quelques travers journalistiques . Mais le chapitre le plus prenant restera sans doute « L'oiseau bleu a disparu », où une mère cherche à retrouver sa fille perdue, et dont les rebondissements rappelleront certains films hollywoodiens.
Entre ces enquêtes plus ou moins soutenues, l'auteur nous offrira diverses respirations, que l'on peut réunir sous les valeurs de la famille et de la transmission du savoir : un grand-père à la recherche de l'affection de son petit-fils, un enseignant qui n'a pas su comprendre le message posthume de son fils, une tribu composée de voisins marqués par un même drame,... A noter que pour ces épisodes plus légers, nous retrouvons une fois encore l'entourage de Keaton, afin d'accentuer cette idée d'héritage filial. Des valeurs qui se retrouvent sublimées dans le dernier chapitre du volume, qui fait le liant culturel entre occident et orient, et qui montre que les petites histoires font la grande.
Master Keaton poursuit donc son petit bonhomme de chemin, sans ralentir le pas, et si nous pouvions commencer à sentir une forme de redondance, l'auteur sait varier les ambiances et les tempos pour masquer la lassitude. Et l'on sent déjà poindre une certaine maîtrise du suspens, encore un brin timide, mais déjà signe d'un grand talent enfoui. Le rythme de parution de la série, à présent trimestriel, nous fait apprécier ces aventures à une plus juste valeur. Prenez le temps d'apprécier ce qui nous entoure ! Prenez le temps d'écouter les autres !
J'ai commencé le tome et j'ai beaucoup aimé les deux premières histoires, bien traitées et avec quelques surprises.
Par contre elles me confirment que la série souffre surtout d'un gros manque de dynamisme : les informations factuelles et/ou historiques sont mieux intégrées qu'au tout début mais ça reste quand même assez "plat". On parle beaucoup du progrès graphique considérable d'Urasawa concernant l'expression des sentiments humains dans Happy! mais je trouve que le contraste est d'autant plus flagrant entre la mise en scène, le trait graphique de Master Keaton et celui de Master Keaton Remaster. Évidemment il y a vingt ans d'écart entre les deux mais si jamais Urasawa se proposait de redessiner tous les tomes de Master Keaton je serais preneur
Par contre elles me confirment que la série souffre surtout d'un gros manque de dynamisme : les informations factuelles et/ou historiques sont mieux intégrées qu'au tout début mais ça reste quand même assez "plat". On parle beaucoup du progrès graphique considérable d'Urasawa concernant l'expression des sentiments humains dans Happy! mais je trouve que le contraste est d'autant plus flagrant entre la mise en scène, le trait graphique de Master Keaton et celui de Master Keaton Remaster. Évidemment il y a vingt ans d'écart entre les deux mais si jamais Urasawa se proposait de redessiner tous les tomes de Master Keaton je serais preneur
Ce volume est clairement le meilleur pour moi, dans le sens où aucune histoire ne m'a vraiment paru inférieure aux autres! Évidemment j'ai des préférences pour certaines (l'histoire du chauffeur de taxi sud-africain, celle de l'oiseau bleau, la première en trois parties sur les gitans...) mais globalement aucun chapitre n'est à jeter!
La légende sur les tengus est bien amenée, j'ai trouvé ça sympa. Et j'ai l'impression qu'Urasawa "testait" déjà le principe des histoires racontées sans le héros, ou du moins avec un héros au rôle très réduit, comme dans Monster.
La légende sur les tengus est bien amenée, j'ai trouvé ça sympa. Et j'ai l'impression qu'Urasawa "testait" déjà le principe des histoires racontées sans le héros, ou du moins avec un héros au rôle très réduit, comme dans Monster.