J'ai pas vu les films ou animes sur Berserk, mais je ne peux que t'encourager à lire le mangaMon copain était plutôt content des adaptations, si ça peut te rassurer Bon, eh bien je vais devoir rajouter Berserk à ma (longue) liste de mangas à lire ^^
Allez, un bilan éclair de mes films de ces derniers mois. Je vous préviens, ça va du chef d’œuvre américain à la comédie française couillonne.
Le Parrain II : comme le numéro un, chef d’œuvre. Al Pacino est vraiment épatant en successeur de Don Corleone tellement à cheval sur les traditions de l'Italie profonde que tout se disloque autour de lui, à commencer par sa famille qu'il aime tant. Mention spéciale à Robert De Niro, très bon en Vito Corleone jeune.
Taxi Driver : l'histoire d'un banal chauffeur de taxi qui côtoie tellement la merde des bas-fonds new-yorkais qu'il "s'anarchise" peu à peu avant de laisser sa rage exploser. La fin est plus étonnante qu'elle en a l'air. Un très très grand film. Mention spéciale à Robert De Niro, épatant dans le rôle de sa vie.
Il était une fois la Révolution : J'avais adoré Il était une fois dans l'Ouest (la séquence d'intro est juste le meilleur moment de cinéma of all the times !), mais j'ai tenu seulement deux heures sur trois pour ce deuxième opus des Il était une fois de Sergio Leone. Non pas que ce soit un film dénué d'intérêt, mais ça manque clairement de rythme. Dans L'Ouest et En Amérique sont très lents aussi, mais ils ont un côté contemplatif que n'a pas La Révolution.
Il était une fois en Amérique : Chef d’œuvre ! Chef d’œuvre ! La peinture de l'aspect social de la société américaine des années 20 aux années 60 est hallucinante. Des jours après l'avoir fini, je pensais encore à certains moments et glanait encore des infos sur le net. La meilleure chose du film, c'est sans doute l'OST d'Ennio Morricone, qui s'est surpassé. Mention spéciale à Robert De Niro, incroyable en mafieux violent mais en proie au doute (oui, je fais une spéciale).
Reservoir Dogs : Tarantino, avant que je matte ce qu'il fasse, j'avais l'image d'un cinéaste qui transforme l’ultra-violence en divertissement funky au service de la recherche cinématographique. Reservoir Dogs va même plus loin : il nous montre comment l'humain réagit dans un contexte qui le dépasse. Ce n'est aucunement de la violence gratuite. Réalisation léchée et scénario intelligent. Well done.
Les Oiseaux: un film qu'on apprécie sur la longueur, car la première moitié est extrêmement laborieuse. Mais au final, j'ai bien aimé. Les effets spéciaux sont plutôt convaincant vu l'ambition et les moyens de l'époque.
Fenêtre sur Cour: un très très bon film qui maintient constamment en haleine.
La Jetée : pour la petite histoire, c'est un court-métrage français, qualifié de "proto-cyberpunk", constitué d'une succession de photos N&B sur fond de musique inquétante et de voix off mortifère. C'est le film à l'origine de l'Armée des 12 Singes de Terry Gilliam. C'est très saisissant comme film. Le format nous plonge dans une autre dimension.
Pacific Rim : on nous vendait un hommage de l'occident à la japanimation, on se retrouve avec un film très décevant. Les bases du scénario sont plutôt intelligentes et vont plus loin qu'un Transformers, mais ça s'arrête là. Plus le film défile, moins on croit à sa crédibilité entre les péripéties débiles, le script affligeant et les acteurs totalement lisses. Je vais finir par croire qu'un blockbuster finit toujours par rendre les acteurs mauvais en fin de compte !
Orange Mécanique : bel esthétique, propos aussi intéressant que dérangeant, mais le rythme est dégueulasse. Ni actif, ni contemplatif, j'ai fini par quasiment m'endormir vers la fin. J'ai vu quelques morceaux d'autres films de Kubrick, et j'avais la même sensation.
Evangelion 1.01 : je vais me faire une raison, je n'aime pas Evangelion. Le scénario me gêne toujours autant (crédibilité à remettre en cause à bien des niveaux) et l'animation est correcte mais loin, très très loin que ce que peuvent donner d'autres films du même genre (Haruri, Akira, Miyazaki, Digimon même...).
Ma Vie est un enfer : je suis bon public des comédies françaises à la con. Mais celle-là, je ne l'ai pas aimé. Je n'ai pas ri, à peine souri.
Hanté par ses ex : la plus grosse daube que j'ai vue ces derniers mois. Rien d'original, rien de crédible, fin débile, morale douteuse, facilités dans l'intrigue à chaque scène. Il y a deux trois trucs à dire sur les comédies françaises peut-être, mais les Américains sont capables de produire quelques belles pièces aussi.
Le Coach : sympa, on rit quelques fois, mais il vaut mieux ne pas être pointilleux sur la vraisemblance (le mec récupère un chèque pas à son nom à la fin quand même).
L'Emmerdeur version Richard Berry et Patrick Timsit : j'ai vu que c'était un film particulièrement mal accueilli. Sans égaler la version Jacques Brel / Lino Ventura, je confesse avoir ri aux quelques gags ajoutés.
Fatal : une comédie à l'humour un peu gras. Je suis client. Mais ça se barre un peu en couille vers la fin.
Le Parrain II : comme le numéro un, chef d’œuvre. Al Pacino est vraiment épatant en successeur de Don Corleone tellement à cheval sur les traditions de l'Italie profonde que tout se disloque autour de lui, à commencer par sa famille qu'il aime tant. Mention spéciale à Robert De Niro, très bon en Vito Corleone jeune.
Taxi Driver : l'histoire d'un banal chauffeur de taxi qui côtoie tellement la merde des bas-fonds new-yorkais qu'il "s'anarchise" peu à peu avant de laisser sa rage exploser. La fin est plus étonnante qu'elle en a l'air. Un très très grand film. Mention spéciale à Robert De Niro, épatant dans le rôle de sa vie.
Il était une fois la Révolution : J'avais adoré Il était une fois dans l'Ouest (la séquence d'intro est juste le meilleur moment de cinéma of all the times !), mais j'ai tenu seulement deux heures sur trois pour ce deuxième opus des Il était une fois de Sergio Leone. Non pas que ce soit un film dénué d'intérêt, mais ça manque clairement de rythme. Dans L'Ouest et En Amérique sont très lents aussi, mais ils ont un côté contemplatif que n'a pas La Révolution.
Il était une fois en Amérique : Chef d’œuvre ! Chef d’œuvre ! La peinture de l'aspect social de la société américaine des années 20 aux années 60 est hallucinante. Des jours après l'avoir fini, je pensais encore à certains moments et glanait encore des infos sur le net. La meilleure chose du film, c'est sans doute l'OST d'Ennio Morricone, qui s'est surpassé. Mention spéciale à Robert De Niro, incroyable en mafieux violent mais en proie au doute (oui, je fais une spéciale).
Reservoir Dogs : Tarantino, avant que je matte ce qu'il fasse, j'avais l'image d'un cinéaste qui transforme l’ultra-violence en divertissement funky au service de la recherche cinématographique. Reservoir Dogs va même plus loin : il nous montre comment l'humain réagit dans un contexte qui le dépasse. Ce n'est aucunement de la violence gratuite. Réalisation léchée et scénario intelligent. Well done.
Les Oiseaux: un film qu'on apprécie sur la longueur, car la première moitié est extrêmement laborieuse. Mais au final, j'ai bien aimé. Les effets spéciaux sont plutôt convaincant vu l'ambition et les moyens de l'époque.
Fenêtre sur Cour: un très très bon film qui maintient constamment en haleine.
La Jetée : pour la petite histoire, c'est un court-métrage français, qualifié de "proto-cyberpunk", constitué d'une succession de photos N&B sur fond de musique inquétante et de voix off mortifère. C'est le film à l'origine de l'Armée des 12 Singes de Terry Gilliam. C'est très saisissant comme film. Le format nous plonge dans une autre dimension.
Pacific Rim : on nous vendait un hommage de l'occident à la japanimation, on se retrouve avec un film très décevant. Les bases du scénario sont plutôt intelligentes et vont plus loin qu'un Transformers, mais ça s'arrête là. Plus le film défile, moins on croit à sa crédibilité entre les péripéties débiles, le script affligeant et les acteurs totalement lisses. Je vais finir par croire qu'un blockbuster finit toujours par rendre les acteurs mauvais en fin de compte !
Orange Mécanique : bel esthétique, propos aussi intéressant que dérangeant, mais le rythme est dégueulasse. Ni actif, ni contemplatif, j'ai fini par quasiment m'endormir vers la fin. J'ai vu quelques morceaux d'autres films de Kubrick, et j'avais la même sensation.
Evangelion 1.01 : je vais me faire une raison, je n'aime pas Evangelion. Le scénario me gêne toujours autant (crédibilité à remettre en cause à bien des niveaux) et l'animation est correcte mais loin, très très loin que ce que peuvent donner d'autres films du même genre (Haruri, Akira, Miyazaki, Digimon même...).
Ma Vie est un enfer : je suis bon public des comédies françaises à la con. Mais celle-là, je ne l'ai pas aimé. Je n'ai pas ri, à peine souri.
Hanté par ses ex : la plus grosse daube que j'ai vue ces derniers mois. Rien d'original, rien de crédible, fin débile, morale douteuse, facilités dans l'intrigue à chaque scène. Il y a deux trois trucs à dire sur les comédies françaises peut-être, mais les Américains sont capables de produire quelques belles pièces aussi.
Le Coach : sympa, on rit quelques fois, mais il vaut mieux ne pas être pointilleux sur la vraisemblance (le mec récupère un chèque pas à son nom à la fin quand même).
L'Emmerdeur version Richard Berry et Patrick Timsit : j'ai vu que c'était un film particulièrement mal accueilli. Sans égaler la version Jacques Brel / Lino Ventura, je confesse avoir ri aux quelques gags ajoutés.
Fatal : une comédie à l'humour un peu gras. Je suis client. Mais ça se barre un peu en couille vers la fin.
Hanté par ses ex : la plus grosse daube que j'ai vue ces derniers mois. Rien d'original, rien de crédible, fin débile, morale douteuse, facilités dans l'intrigue à chaque scène. Il y a deux trois trucs à dire sur les comédies françaises peut-être, mais les Américains sont capables de produire quelques belles pièces aussi.+1000
Pacific Rim : on nous vendait un hommage de l'occident à la japanimation, on se retrouve avec un film très décevant. Les bases du scénario sont plutôt intelligentes et vont plus loin qu'un Transformers, mais ça s'arrête là. Plus le film défile, moins on croit à sa crédibilité entre les péripéties débiles, le script affligeant et les acteurs totalement lisses. Je vais finir par croire qu'un blockbuster finit toujours par rendre les acteurs mauvais en fin de compte !Plus ça va, plus j'ai l'impression d'être le seul à avoir apprécié ce film
Evangelion 1.01 : je vais me faire une raison, je n'aime pas Evangelion. Le scénario me gêne toujours autant (crédibilité à remettre en cause à bien des niveaux) et l'animation est correcte mais loin, très très loin que ce que peuvent donner d'autres films du même genre (Haruri, Akira, Miyazaki, Digimon même...).
Je sais pas ce qu'il vous faut. J'ai l'impression de voir une bonne série, pas un film. Evangelion est toujours un cran en dessous de son support : ça ne bouge jamais dans tous les sens, y'a pas mal de plans fixes...
Perso je suis d'accord avec Raimaru : j'aime beaucoup la série Evangelion mais le film franchement c'est bof bof.
mycea> tu parles bien du 1.01 ? (Oui, on peut s'y perdre avec les anciens films)je sais pas trop : il est sorti quand celui-là (je ne savais pas qu'il y en avait 36)? celui qui j'ai vu c'était en 2004 je crois une copine me l'avait prêté mais à me rappeler du titre exact alors là
Tu ne parles pas du même alors. Celui dont on parle est sorti en 2007. Tu dois confondre de Death & rebirth, qui est une purge ^^;
J'ai revu avec plaisir The blues brothers de John Landis; ce film devient un classique avec ses numéros musicos et son halluccinante poursuite finale en voiture.
Voir dégommer les nazis est toujours un plaisir!
Voir dégommer les nazis est toujours un plaisir!
Tout employé tend à atteindre son niveau d'incompétence.
Principe de Peter
Principe de Peter
Etant donne que j'ai un peu de temps j'en profite pour répondre ä Rodrinho sur Man of Steel.
Désolé pour mon écriture et parfois le manque d'accent mais j'écris avec un clavier allemand.
Bon je pourrais développer encore les autres éléments mais je trouve que le film n'en vaut pas la peine. Superman est un personnage lumineux qui représente l'espoir en l'humanité, lä on a fait simplement un copier coller de la recette de Batman or les deux personnes sont antagonistes et c'est lä la grosse erreur.
Désolé pour mon écriture et parfois le manque d'accent mais j'écris avec un clavier allemand.
Je suis en désaccord total, j'ai bien aimé le film.
Spoiler : :
Spoiler : :
" Un naturopathe, c'est comme un sociopathe mais avec la nature "
Ben moi, je trouve ça cohérent
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Ben moi, je trouve ça cohérent
Spoiler : :
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" Un naturopathe, c'est comme un sociopathe mais avec la nature "
Les émotifs anonymes:
C'est particulier.. Faut adhérer à ce genre d'humour sinon c'est même pas la peine. Perso j'ai bien aimé, ça joue bien, peu de temps mort et une ambiance légère très plaisante!
Black swan:
Ouais j'sais pas.. J'ai trouvé ça sympa mais sans plus. Le jeu d'acteur est excellent certes, mais le personnage de Portman ne m'a pas transcendé, je l'ai trouvé plus creuse et fade qu'autre chose alors que d'habitude j'aime bien ce genre de dérangés Hormis ce côté mièvre, ça restait un film agréable même si la fin était loin d'être surprenante.
DBZ Battle of Gods: (Oui c'était surtout pour le placer ^^)
J'avais peur.. Très peur.. Mais finalement j'ai beaucoup aimé !! Contrairement aux autres films de la série, et même malgré la dangerosité de l'ennemie, BoG est vachement accès humour et je pense que c'était le truc à faire pour assurer un retour.
Plus qu'à espérer qu'ils sortent un film par an maintenant
C'est particulier.. Faut adhérer à ce genre d'humour sinon c'est même pas la peine. Perso j'ai bien aimé, ça joue bien, peu de temps mort et une ambiance légère très plaisante!
Black swan:
Ouais j'sais pas.. J'ai trouvé ça sympa mais sans plus. Le jeu d'acteur est excellent certes, mais le personnage de Portman ne m'a pas transcendé, je l'ai trouvé plus creuse et fade qu'autre chose alors que d'habitude j'aime bien ce genre de dérangés Hormis ce côté mièvre, ça restait un film agréable même si la fin était loin d'être surprenante.
DBZ Battle of Gods: (Oui c'était surtout pour le placer ^^)
J'avais peur.. Très peur.. Mais finalement j'ai beaucoup aimé !! Contrairement aux autres films de la série, et même malgré la dangerosité de l'ennemie, BoG est vachement accès humour et je pense que c'était le truc à faire pour assurer un retour.
Spoiler : :
Diaz: film italien que la prof nous a emmené voir pour qu'on déprime bien toute la soirée Non sinon ça raconte les émeutes et les dérives des CRS pendant le G8 de 2001 à Gènes, c'est très intéressant et ça permet soit de revenir sur le sujet soit de faire connaître ce qui s'est passé. C'est très bien filmé, parce que c'est vraiment saisissant. Certaines scènes sont très "étouffantes" à cause de la violence, et même si d'habitude ça ne me dérange pas j'étais vraiment mal parfois !
Dead Man's Shoes: je continue sur la lignée des films qui dépriment ! C'est triste, les acteurs jouent très bien, et (là encore) il y a pas mal de scènes très dures. Le dénouement est spectaculaire (c'est mon avis, je l'ai trouvé génial et horriblement triste en même temps), il y a de la bonne musique...
Dead Man's Shoes: je continue sur la lignée des films qui dépriment ! C'est triste, les acteurs jouent très bien, et (là encore) il y a pas mal de scènes très dures. Le dénouement est spectaculaire (c'est mon avis, je l'ai trouvé génial et horriblement triste en même temps), il y a de la bonne musique...
Blue Jasmine: de Woody Allen
Je suis allée voir Blue Jasmine de Woody Allen: Cate Blanchet est merveilleuse, le film est très vachard, un des plus sombres de Woody Allen.
Allez le voir vous ne serez pas déçus.
Je suis allée voir Blue Jasmine de Woody Allen: Cate Blanchet est merveilleuse, le film est très vachard, un des plus sombres de Woody Allen.
Allez le voir vous ne serez pas déçus.
Tout employé tend à atteindre son niveau d'incompétence.
Principe de Peter
Principe de Peter
Le Majordome: un très beau film, intéressant avec de supers acteurs. Les deux heures passent sans qu'on s'en rende compte, et ça retrace bien tous les mouvements de la ségrégation raciale.
Deux points négatifs (mais qui ne changent rien à la qualité du film):
- les acteurs qui jouent les présidents ne leur ressemblent pas du tout, c'est dommage (j'étais très déçue pour Kennedy, l'acteur n'a rien à voir avec lui physiquement)
- ils ont choisi Mariah Carey pour jouer une femme noire au début du film. Je n'ai rien contre elle mais pour un film qui dénonce le racisme, choisir une blanche pour jouer une noire, je trouve ça un peu contradictoire... il y a assez d'actrices noires de talent pour ne pas être obligé d'aller chercher une actrice blanche et de la maquiller.
Deux points négatifs (mais qui ne changent rien à la qualité du film):
- les acteurs qui jouent les présidents ne leur ressemblent pas du tout, c'est dommage (j'étais très déçue pour Kennedy, l'acteur n'a rien à voir avec lui physiquement)
- ils ont choisi Mariah Carey pour jouer une femme noire au début du film. Je n'ai rien contre elle mais pour un film qui dénonce le racisme, choisir une blanche pour jouer une noire, je trouve ça un peu contradictoire... il y a assez d'actrices noires de talent pour ne pas être obligé d'aller chercher une actrice blanche et de la maquiller.
- ils ont choisi Mariah Carey pour jouer une femme noire au début du film. Je n'ai rien contre elle mais pour un film qui dénonce le racisme, choisir une blanche pour jouer une noire, je trouve ça un peu contradictoire... il y a assez d'actrices noires de talent pour ne pas être obligé d'aller chercher une actrice blanche et de la maquiller.Ça ne se voit pas mais elle est bien afro-américaine