EDIT: Ah j'y pense! Euh voila j'aurai besoin de quelque conseils. Sa fait quelque mois que j'écris un recueil de conte afin de l'envoyer à un éditeur et d'être publier. Je l'ai finit ressament et je l'ai recoriger mais vu que je n'aurai qu'un seul essai et qu'il y a surment des incohérences ou des phrases qui auraient put être mieux formulé est-ce que si je poste le tout tu pourrais dire ce qui va/ ne va pas? (Venant d'une professeur de français il n'y aurait pas meilleur juge)Bien sûr, pas de problème ! Ce sera avec plaisir. Profite des vacances d'ailleurs car j'ai un peu plus de temps que d'habitude
Youpi! j'envois par message priver
Et si sa interesse les autres je serai d'avis de les poster mais il faudrait créer un topic spécialement réserver a certain membres car vu que le forum est populaire je n'ai pas trop envit que n'importe qui puisse les regarder et même les "voler" vu qu'il ne suffit de faire qu'un simple copier coller...
Et si sa interesse les autres je serai d'avis de les poster mais il faudrait créer un topic spécialement réserver a certain membres car vu que le forum est populaire je n'ai pas trop envit que n'importe qui puisse les regarder et même les "voler" vu qu'il ne suffit de faire qu'un simple copier coller...
Le plus simple pour que ça reste privé c'est d'utiliser des MP et de les envoyer à ceux que ça intéresse, tu peux faire des envois groupés de MP, c'est plus pratique!
Premier pas sur ce topic, je viens de terminer 1984 de George Orwell:
J'ai été sur le c** du début à la fin , ce livre est extraordinaire et viens de prendre la première place de mes livres préférés ! Toutes les scènes du livre m'ont marqué et sûrement à vie!
J'ai commencer aussi La Nausée de Jean-Paul Sartre
Mais je crois que je vais l'arrêter très vite, ce livre est hyper déprimant...
Il y'a un peu plus longtemps j'ai commencer aussi PLDBDREDE
Que j'ai aussi arrêter très vite malgré le petit nombre de pages. J'ai pas trop accrocher ni au propos ni au style...
Je suis pas très bon pour les critiques littéraire dsl.
J'ai été sur le c** du début à la fin , ce livre est extraordinaire et viens de prendre la première place de mes livres préférés ! Toutes les scènes du livre m'ont marqué et sûrement à vie!
J'ai commencer aussi La Nausée de Jean-Paul Sartre
Mais je crois que je vais l'arrêter très vite, ce livre est hyper déprimant...
Il y'a un peu plus longtemps j'ai commencer aussi PLDBDREDE
Que j'ai aussi arrêter très vite malgré le petit nombre de pages. J'ai pas trop accrocher ni au propos ni au style...
Je suis pas très bon pour les critiques littéraire dsl.
Mon blog : http://utopies.over-blog.fr/
Ninja Tooken, le FPS multi sur navigateur : http://www.ninjatooken.com
Ninja Tooken, le FPS multi sur navigateur : http://www.ninjatooken.com
1984 c'est un livre culte!
Je t'en recommande un autre de livre de SF essentiel:
Le meilleur des mondes d' Aldous Leonard Huxley, un livre exceptionnellement prémonitoire.
Je rêve qu'un réalisateur "couillu" ose l'adapter au cinéma!
Je t'en recommande un autre de livre de SF essentiel:
Le meilleur des mondes d' Aldous Leonard Huxley, un livre exceptionnellement prémonitoire.
Je rêve qu'un réalisateur "couillu" ose l'adapter au cinéma!
Tout employé tend à atteindre son niveau d'incompétence.
Principe de Peter
Principe de Peter
Ah 1984... c'est une bonne période pour le relire tiens...
J'ai bien sûr terminé Une année à la campagne, que je ne saurais que trop vous conseiller...
Et j'ai commencé, sur les conseils de Drucci, Do androids dream of electric sheeps; ça commence très très bien, puisque j'ai dévoré les 50 premières pages hier.
J'ai bien sûr terminé Une année à la campagne, que je ne saurais que trop vous conseiller...
Et j'ai commencé, sur les conseils de Drucci, Do androids dream of electric sheeps; ça commence très très bien, puisque j'ai dévoré les 50 premières pages hier.
Et j'ai commencé, sur les conseils de Drucci, Do androids dream of electric sheeps; ça commence très très bien, puisque j'ai dévoré les 50 premières pages hier.En VO ou en VF? (je pose la question vu que tu cites le titre en VO d'où mon doute ^^)
En tout cas tu devrais aimer tout le livre, c'est vrai qu'il est prenant, rien qu'en parler me donne envie de le relire!
Non non en VF, j'aurais jamais lu 50 pages d'un coup sinon
Je cite le titre en anglais parce que je l'aime comme ça et que le titre français de mon exemplaire, c'est "Blade Runner"... un peu facile quand même. Mais c'est sûr, ça doit mieux se vendre comme ça !
Sinon je l'ai terminé ce matin et en effet j'aime beaucoup ! Ces romans d'anticipation étaient vraiment épatants tout de même. D'ailleurs celui-ci date de 1968, comme par hasard.
Je trouve que le film a su saisir l'atmosphère sombre et post apocalyptique du roman, mais la "deshumansation" des humains y est moins prise en compte. A moins que ce soit mon souvenir qui soit émoussé ? Il va falloir que je remate le film, c'est sûr.
Le roman va plus loin que le film sur certains côtés (notamment le rapport aux animaux, très bien traité et vraiment intéressant d'un point de vue psychologioque) et moins sur d'autres : il me semble qu'on a davantage d'empathie à l'égard des androïdes dans le film par exemple.
Car si le thème "androïdes et humains sont-ils égaux" est abordé frontalement, on a tout de même cette perception lancinante de l'androïde froid et calculateur qui empêche toute réelle projection empathique. C'est assez vicieux vu que l'empathie est précisément censée être le critère qui les différencie... Par ailleurs, l'empathie avec les humains est elle-même compliquée par leur comportement très cruel. Du coup la société paraît vouée à l'échec, d'où une situation finale très embrouillée.
Le seul être véritablement humain, c'est John, ce "spécial" dont le QI n'est pas règlementaire et l'on met à part de la société...
Une lecture qui se recoupe de façon remarquable avec Pluto, d'ailleurs ! En plus, ça se lit vraiment très vite, alors n'hésitez pas.
Je cite le titre en anglais parce que je l'aime comme ça et que le titre français de mon exemplaire, c'est "Blade Runner"... un peu facile quand même. Mais c'est sûr, ça doit mieux se vendre comme ça !
Sinon je l'ai terminé ce matin et en effet j'aime beaucoup ! Ces romans d'anticipation étaient vraiment épatants tout de même. D'ailleurs celui-ci date de 1968, comme par hasard.
Je trouve que le film a su saisir l'atmosphère sombre et post apocalyptique du roman, mais la "deshumansation" des humains y est moins prise en compte. A moins que ce soit mon souvenir qui soit émoussé ? Il va falloir que je remate le film, c'est sûr.
Le roman va plus loin que le film sur certains côtés (notamment le rapport aux animaux, très bien traité et vraiment intéressant d'un point de vue psychologioque) et moins sur d'autres : il me semble qu'on a davantage d'empathie à l'égard des androïdes dans le film par exemple.
Car si le thème "androïdes et humains sont-ils égaux" est abordé frontalement, on a tout de même cette perception lancinante de l'androïde froid et calculateur qui empêche toute réelle projection empathique. C'est assez vicieux vu que l'empathie est précisément censée être le critère qui les différencie... Par ailleurs, l'empathie avec les humains est elle-même compliquée par leur comportement très cruel. Du coup la société paraît vouée à l'échec, d'où une situation finale très embrouillée.
Le seul être véritablement humain, c'est John, ce "spécial" dont le QI n'est pas règlementaire et l'on met à part de la société...
Une lecture qui se recoupe de façon remarquable avec Pluto, d'ailleurs ! En plus, ça se lit vraiment très vite, alors n'hésitez pas.
Et pour les drogues, qu'en est-t-il dans le roman?
Ce qui me gêne chez P.K. Dick c'est sa propension à utiliser souvent la drogue dans ses romans.
Il est vrai qu'il était junky lui-même et que c'est la cause de sa mort précoce.
Dans le film Blade runner Ridley Scott est heureusement très discret sur ce sujet.
Ce qui me gêne chez P.K. Dick c'est sa propension à utiliser souvent la drogue dans ses romans.
Il est vrai qu'il était junky lui-même et que c'est la cause de sa mort précoce.
Dans le film Blade runner Ridley Scott est heureusement très discret sur ce sujet.
Tout employé tend à atteindre son niveau d'incompétence.
Principe de Peter
Principe de Peter
Et pour les drogues, qu'en est-t-il dans le roman?ah ouais non je sais pas c'est la première fois que je le lis. En tout cas là c'est vraiment discret parce que je n'y ai pas prêté attention... Mais maintenant que tu en parles... je crois qu'il en est vaguement question à un moment (mais je saurais pas dire pourquoi... j'ai peut-être lu un peu vite, finalement). Surtout, il y a un truc qui fait penser aux drogues et qui est intéressant (d'un point de vue scénaristique j'entends ), c'est le fait de pouvoir programmer un état (joyeux, etc) sur un "orgue" personnel. L'idée de programmer les sentiments est un leit-motiv des contre-utopies & roman d'anticipation, mais ça rappelle aussi beaucoup la volonté de fuite du réel qui caractérise les drogués (ou les shootés aux médicaments, ce qui revient au même). Donc oui, il est très facile de déceler le junkie entre les lignes; cela dit moi ça ne me gêne pas. Je ne vois pas en quoi ça fait obstacle à la lecture...
Ce qui me gêne chez P.K. Dick c'est sa propension à utiliser souvent la drogue dans ses romans.
Il est vrai qu'il était junky lui-même et que c'est la cause de sa mort précoce.
Dans le film Blade runner Ridley Scott est heureusement très discret sur ce sujet.
Ce qui me gêne c'est que l'usage de drogues est récurant dans tous les films adaptés de ses romans:Et pour les drogues, qu'en est-t-il dans le roman?ah ouais non je sais pas c'est la première fois que je le lis. En tout cas là c'est vraiment discret parce que je n'y ai pas prêté attention... Mais maintenant que tu en parles... je crois qu'il en est vaguement question à un moment (mais je saurais pas dire pourquoi... j'ai peut-être lu un peu vite, finalement). Surtout, il y a un truc qui fait penser aux drogues et qui est intéressant (d'un point de vue scénaristique j'entends ), c'est le fait de pouvoir programmer un état (joyeux, etc) sur un "orgue" personnel. L'idée de programmer les sentiments est un leit-motiv des contre-utopies & roman d'anticipation, mais ça rappelle aussi beaucoup la volonté de fuite du réel qui caractérise les drogués (ou les shootés aux médicaments, ce qui revient au même). Donc oui, il est très facile de déceler le junkie entre les lignes; cela dit moi ça ne me gêne pas. Je ne vois pas en quoi ça fait obstacle à la lecture...
Ce qui me gêne chez P.K. Dick c'est sa propension à utiliser souvent la drogue dans ses romans.
Il est vrai qu'il était junky lui-même et que c'est la cause de sa mort précoce.
Dans le film Blade runner Ridley Scott est heureusement très discret sur ce sujet.
Total recall: la drogue qui fait voyager où l'on veut; sur Mars pour le plombier joué par "Schwarzy", qui a des cauchemars récurants.
Minority report les "precog" sont soumis à des drogues pour exciter leurs visions.
Personnellement ça finit par me lasser ce recours systématique à des drogues.
Dans Brave new wold, Aldous L Huxley critique l'emploie des drogues par la population qui les utilisent pour s'exciter sexuellement.
Tout employé tend à atteindre son niveau d'incompétence.
Principe de Peter
Principe de Peter
Oui je comprends en effet que ça puisse lasser mais perso je n'ai pas beaucoup lu de romans "drogués" ce qui fait que la lassitude n'est pas là .
En lisant tout ça je me rends compte que mon souvenir du bouquin est quand même assez flou, faudrait que je le relise, peut être en VF aussi pour que ça passe mieux (je me souviens que plusieurs termes techniques ou descriptions m'avaient échappé quand même). Mais effectivement la principale différence que j'avais retenu par rapport au film c'est l'importance des animaux dans le livre. Et c'est marrant de voir des répliques exactes du bouquin reprises dans le film d'ailleurs!
En lisant tout ça je me rends compte que mon souvenir du bouquin est quand même assez flou, faudrait que je le relise, peut être en VF aussi pour que ça passe mieux (je me souviens que plusieurs termes techniques ou descriptions m'avaient échappé quand même). Mais effectivement la principale différence que j'avais retenu par rapport au film c'est l'importance des animaux dans le livre. Et c'est marrant de voir des répliques exactes du bouquin reprises dans le film d'ailleurs!Ca me fait peur, la couverture est belle, mais le dessin est d'une raideur épouvantable:
http://www.bdgest.com/preview-848-BD-do ... ome-1.html...
Tout employé tend à atteindre son niveau d'incompétence.
Principe de Peter
Principe de Peter
Bah écoute Effer si, tu n'as pas envie de le lire, on ne te met pas le couteau sous la gorge hein
Sinon, comme j'étais malade à crever toute la semaine, j'ai profité de ce répit forcé pour lire un Jean-François Parot de plus, L'homme au ventre de plomb.
C'est le tome 2 de la série des aventures de Nicolas Le Floch, commissaire au Châtelet sous Louis XV. Cette série est magnifique, d'abord parce que l'intrigue policière (de facture classique) est menée de main de maître, mais aussi parce que l'écriture en est succulente. Avec des mots précis et remarquablement ancrés dans l'éoque (je recours quelquefois au dictionnaire pour m'assurer du sens de tel ou tel terme), l'auteur exprime avec une élégance rare tout l'esprit de l'époque.
Avec lui on est dans le Paris des années 1670, on vit avec les personnages, on mange ce qu'ils mangent, on découvre tous les petits métiers qui font le charme ou les dangers d'une époque... les rues étroites et sombres la nuit, les cadavres que l'on jette à la Seine après les exécutions publiques... la torture, aussi, est abordée de façon intéressante puisque le personnage du bourreau est un ami du héros. On retrouve des intrigues à la Dumas avec des complots complexes contre le roi et un personnage dont l'ascension sociale fulgurante rappelle vaguement d'Artagnan. A la différence de Dumas, les références historiques sont beaucoup plus rigoureuses mais comme lui l'auteur insère avec talent et précision sa petite histoire dans la Grande.
Je ne saurais que trop recommander la lecture de ce roman historique de grande facture doublé d'un succulent polar !
Sinon, comme j'étais malade à crever toute la semaine, j'ai profité de ce répit forcé pour lire un Jean-François Parot de plus, L'homme au ventre de plomb.
C'est le tome 2 de la série des aventures de Nicolas Le Floch, commissaire au Châtelet sous Louis XV. Cette série est magnifique, d'abord parce que l'intrigue policière (de facture classique) est menée de main de maître, mais aussi parce que l'écriture en est succulente. Avec des mots précis et remarquablement ancrés dans l'éoque (je recours quelquefois au dictionnaire pour m'assurer du sens de tel ou tel terme), l'auteur exprime avec une élégance rare tout l'esprit de l'époque.
Avec lui on est dans le Paris des années 1670, on vit avec les personnages, on mange ce qu'ils mangent, on découvre tous les petits métiers qui font le charme ou les dangers d'une époque... les rues étroites et sombres la nuit, les cadavres que l'on jette à la Seine après les exécutions publiques... la torture, aussi, est abordée de façon intéressante puisque le personnage du bourreau est un ami du héros. On retrouve des intrigues à la Dumas avec des complots complexes contre le roi et un personnage dont l'ascension sociale fulgurante rappelle vaguement d'Artagnan. A la différence de Dumas, les références historiques sont beaucoup plus rigoureuses mais comme lui l'auteur insère avec talent et précision sa petite histoire dans la Grande.
Je ne saurais que trop recommander la lecture de ce roman historique de grande facture doublé d'un succulent polar !
J'aime énormément les adaptations TV de Nicolas Le Floch, les intrigue sont très bonnes, c'est vif, les dialogues sont très beaux, souvent truculents (ce qui est loin de me déplaire), cela colle très bien à l'Histoire.
Je pense également à Alexandre Dumas mais en plus contemporain.
Je n'ai pas lu les romans originaux, je ne peux donc pas comparer avec les adaptations TV.
Je pense également à Alexandre Dumas mais en plus contemporain.
Je n'ai pas lu les romans originaux, je ne peux donc pas comparer avec les adaptations TV.
Tout employé tend à atteindre son niveau d'incompétence.
Principe de Peter
Principe de Peter
Et moi, je ne connais pas la série TV... mais il faudra que je m'y penche.
J'ai fini Bazaar de Stephen King et je vous le recommande! C'est clairement l'un de ses meilleurs romans, mais ce qui me sidère chez cet auteur c'est la différence incroyable de niveau entre ses différents livres. Pour certains t'as limite l'impression de lire des Chair de Poule ou des "mon prof de maths est un extraterrestre" tellement c'est mauvais (Dead Zone et Sac d'os notamment) et pour d'autres (comme Ca et Bazaar) c'est vraiment excellent.
En fait j'ai l'impression que le gros talent de King ça reste sa capacité à raconter des histoires mettant en scène une multitude de personnages aux destins croisés, c'est ce qu'il fait dans Ca et Bazaar et c'est vraiment prenant. Le scénario de Bazaar est bien barré aussi : c'est l'histoire de Castle Rock, une petite ville américaine paisible qui va sombrer dans la folie après l'ouverture d'une boutique appelée "Le Bazar des Rêves" et tenue par un vieil homme du nom de Leland Gaunt. Il a la particularité de vendre à ses clients des objets qu'ils veulent plus que tout (souvenir d'enfance, objet collector, etc) pour des prix dérisoires et en échange leur demande de faire une petite blague à un autre habitant de la ville. Les blagues paraissent anodines mais au final Gaunt planifie le tout pour que les habitants sombrent dans la folie et s'entretuent, et c'est ce qui va se passer.
C'est vraiment très bien raconté, tous les persos sont intéressants et très riches niveau personnalité/profondeur, et King met bien en avant l'aspect possessif et paranoïaque des hommes quand ils sont poussés à bout, ainsi que la montée vers la folie.
La seule déception ça reste la fin du bouquin, j'ai l'impression que King a toujours du mal à finir ses histories, ou alors j'attends autre chose de ses fins, je sais pas, mais l'aspect surnaturel est toujours "torché" et on n'a aucune explication.
Enfin bref j'arrête ce pavé mais si vous cherchez un bon roman bien prenant au scénario original, tentez Bazaar!
En fait j'ai l'impression que le gros talent de King ça reste sa capacité à raconter des histoires mettant en scène une multitude de personnages aux destins croisés, c'est ce qu'il fait dans Ca et Bazaar et c'est vraiment prenant. Le scénario de Bazaar est bien barré aussi : c'est l'histoire de Castle Rock, une petite ville américaine paisible qui va sombrer dans la folie après l'ouverture d'une boutique appelée "Le Bazar des Rêves" et tenue par un vieil homme du nom de Leland Gaunt. Il a la particularité de vendre à ses clients des objets qu'ils veulent plus que tout (souvenir d'enfance, objet collector, etc) pour des prix dérisoires et en échange leur demande de faire une petite blague à un autre habitant de la ville. Les blagues paraissent anodines mais au final Gaunt planifie le tout pour que les habitants sombrent dans la folie et s'entretuent, et c'est ce qui va se passer.
C'est vraiment très bien raconté, tous les persos sont intéressants et très riches niveau personnalité/profondeur, et King met bien en avant l'aspect possessif et paranoïaque des hommes quand ils sont poussés à bout, ainsi que la montée vers la folie.
La seule déception ça reste la fin du bouquin, j'ai l'impression que King a toujours du mal à finir ses histories, ou alors j'attends autre chose de ses fins, je sais pas, mais l'aspect surnaturel est toujours "torché" et on n'a aucune explication.
Enfin bref j'arrête ce pavé mais si vous cherchez un bon roman bien prenant au scénario original, tentez Bazaar!
Je n'ai pas lu Bazaar mais il me semble que je l'ai chez mes parents, j'irai vérifier. Sinon je n'ai pas encore fini le premier tome de Dome mais pour l'instant il est vraiment excellent. C'est devenu mon King préféré devant Dreamcatcheur et Ca.
Et je suis entièrement d'accord avec toi pour les fins.
Et je suis entièrement d'accord avec toi pour les fins.
Si tu l'as n'hésite pas! Tu m'intrigues pour Dôme, c'est plus de la SF que du fantastique non? Enfin je dis ça d'après mon ressenti sur la couverture